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Hannah Arendt, « Heureux celui qui n’a pas de patrie »

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« Une fille et un garçon

au bord du ruisseau et dans la forêt,

d’abord ils sont jeunes ensemble,

puis ensemble ils sont vieux.

 

Dehors les années s’étendent

Et ce qu’on nomme la vie,

L’être-ensemble habite dedans

Qui ne connaît ni la vie ni les ans.

 

Hannah Arendt

Heureux celui n’a pas de patrie. Poèmes de pensée

Traduit de l’allemand par François Mathieu

Edition établie, annotée et présentée par Karin Biro

Payot, 2015

Commentaires

  • Magnifique poème (j'ignorais qu'elle en avait écrit).

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