dimanche, 29 juin 2008
Les papillons ne meurent jamais

Le bleu du ciel : http://editionlebleuduciel.free.fr/
mail : bleuduciel@wanadoo.fr
16:21 Publié dans Sophie Chambard | Lien permanent
samedi, 28 juin 2008
Le Chemin vers la cabane

” Cet été-là, je ne sais pas où était la petite maison de pierre.
Si l’amour se souvient de la naissance de l’amour, si la terre était déjà rouge, si les 48 carreaux découpaient déjà le jardin
Je ne me souviens pas de la petite maison de pierre cet été là.
Je ne sais pas où est la cabane.
& tu n’es toi-même sûre de rien. ”
Troisième volume d'Un nécessaire malentendu après La Vie de famille & “Ce qui arrive”, chez le même éditeur.
64 p. ; ill. ; 10 € isbn : 978.2.915232.51.6
Le bleu du ciel : http://editionlebleuduciel.free.fr/
mail : bleuduciel@wanadoo.fr
15:16 Publié dans Livre | Lien permanent
vendredi, 20 juin 2008
Une pause
09:59 Publié dans Au jour le jour | Lien permanent
lundi, 16 juin 2008
Bloomday

Ulysse
Épisode III – Eumée – traduit par Pascal Bataillard
Nouvelle traduction sous la direction de Jacques Aubert
Gallimard, 2004
15:58 Publié dans Au jour le jour | Lien permanent
jeudi, 12 juin 2008
Young Appolo à la Cabane

aux éditions La Cabane à Bordeaux
14,5x19 ; 16 p. ; ean : 9782916193120 ; 6 €
Commandes et renseignements : lacabane_edit@yahoo.fr
15:37 Publié dans Livre | Lien permanent
mercredi, 11 juin 2008
100 blogs d'un coup d’œil

13:47 Publié dans Blog | Lien permanent
dimanche, 08 juin 2008
Invisible
14:38 Publié dans Sophie Chambard | Lien permanent
jeudi, 05 juin 2008
Dominique Autié : Toutes les larmes du corps

Je l’avais rencontré fin des années 70, début des années 80, autour des enseignements d’édition/librairie et bibliothèque/documentation à Paris, à Saint-Cloud, à Toulouse et à Bordeaux.
Il avait des responsabilités chez Privat à cette époque. Plus tard il en eut au CRL Midi-Pyrénées (vice-président puis membre du conseil d’administration), le temps de ne pas aimer ça. Il avait fait l’école Estienne, dont je rêvais adolescent, dirigeait la société In Texte et tenait un blog très pertinent. Son livre Mon frère dans la tête a marqué une génération (sans doute plusieurs), un de ces livres mythiques qui relèvent de la société secrète. Dans sa bio, la rubrique “Méthodes de travail, ambiance de prédilection, manies”, est si proche de ce que je pourrais écrire moi-même que je ne résiste pas : « Professionnel de l’écrit mais ne vivant pas de mon œuvre, cette dernière souffre d’être le parent pauvre de mon emploi du temps. Ecrire à la sauvette, dans l’exécrable résidu temporel qu'on nomme “loisir”, implique une méthode de prise de notes, de rédaction provisoire sous forme de fragments, que facilite grandement l’informatique. L’Art de la fugue de Jean Sébastien Bach a ce pouvoir de créer dans l’instant la “bulle” sensorielle qui m’autorise à passer de l’écrit professionnel à l’intimité de l’écriture. J’aspire toutefois à écrire au désert. En plus du crayon à papier, l’informatique m’a offert les moyens d'une manie fastueuse : le bodoni. » Il avait eu une émission sur Sud Radio où j’avais eu l’honneur d’être invité avec Philippe Méziat (un bien joli voyage à Toulouse) à l’occasion de la sortie de Jazz & littérature, numéro 3 des Cahiers d’Atlantiques du crl Aquitaine. On se croisait, on se lisait, on s’envoyait des livres. Son blog était très lu (http://blog-dominique.autie.intexte.net/blogs/, vous y trouverez sa biblio complète), il est toujours visible sur la toile. Il s’intéressait aux autres, ça devient rare. Il aimait parler, échanger, bavarder, tout ce que la société du “pestacle” voudrait bien qu’on ne fasse plus. Le monde est toujours plus triste et plus vide.
10:06 Publié dans Écrivains | Lien permanent
mercredi, 04 juin 2008
L'Affiche, ébauche
11:48 Publié dans Sophie Chambard | Lien permanent
dimanche, 01 juin 2008
Young Appolo
Tout près, je le sais, il y a la guerre qui me poursuit.
J’aurais voulu venir ici pour d’autres raisons. J’aurais pu m’asseoir à la terrasse de ce petit café & réfléchir & écrire pendant des jours & des jours.
Aujourd’hui, je dois – oui, je dois – rester assis là & attendre.
Je ne sais pas effacer mes traces. Les chiens me trouveront.
La lumière & l’air sont si mobiles que j’en ai mal aux yeux.
Par quels mots suis-je parvenu jusqu’ici… par quels mots, serai-je conduit au récit de ma fin. À la fin du récit.
Je n’ai plus de force dans les mains.
Les mots se dérobent, ils ne comprennent pas qu’ils sont le récit sans moi.
extrait de Young Appolo, à paraître
aux éditions La Cabane à Bordeaux, le 11 juin.
14,5x19 ; 16 p. ; ean : 9782916193120 ; 6 €
Commandes et renseignements : lacabane_edit@yahoo.fr
12:55 Publié dans Livre | Lien permanent